¡Hola Buenos Aires!

Atterrissage à Buenos Aires ce dimanche matin. Nous avons été accueilli par une pluie de début de printemps. Sur la route vers le centre ville, nous avons traversé en bus les quartiers populaires du sud-ouest de la capitale.

Nous passerons les quatre premières nuits dans une auberge de jeunesse artistique au centre de la ville. Des fresques peintes par des street artistes argentins recouvrent les murs.

Combattre le décalage horaire par les grands moyens en buvant des expressos dans le café Tortoni, une institution à Buenos Aires. Le lieu dégage une atmosphère authentique et traditionnelle.
Le lendemain, nous nous sommes promenés à Plaza de Mayo et dans le quartier de San Telmo, la vielle ville. Ce quartier historique regroupe de nombreux restaurants et commerces parsemés dans les petites ruelles.

La Plaza de Mayo est une grande place au centre de Buenos Aires, symbole de la révolution de 1810 qui a mené à l’indépendance. Elle est encore aujourd’hui un élément majeur de la vie politique argentine, puisque la Casa Rosada (Maison Rose), siège du pouvoir exécutif, borde la place.

A quelques pas de la Plaza de Mayo se trouve le Puerto Madero. C’est un ancien port de la ville et aujourd’hui une promenade. Les ex-entrepôts de briques rouges du port abritent aujourd’hui l’Université de Buenos Aires, des restaurants et des commerces. Sur l’autre rive se trouvent les grattes-ciels du quartier des affaires. Derrière le quartier des affaires s’ouvre un vaste espace naturel : la réserve écologique. Le contraste est étonnant.

La dimension sociale nous a semblé très présente dès notre arrivée dans la ville. Les publicités « Juntos, todo es posible » (Ensemble, tout est possible) qui bordaient la route de l’aéroport jusqu’au centre ville reflètent la solidarité dans la société argentine. Dans la ville, l’histoire et les conflits sociaux sont rappelés par les nombreuses fresques murales et les graffs.

Aujourd’hui, nous avons eu l’occasion de déjeuner avec Juan Martin, géologue et grand passionné de l’histoire de son pays, ainsi que Pablo, coordinateur général du plan national de design au Ministère de la Production. Nous avons discuté de perspectives de rencontres avec des initiateurs de projets solidaires. De quoi espérer faire de belles découvertes prochainement.

 

 

 

 

 

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